Ouf. Il y a un an que j’ai écrit quelque chose ici. Quoi de mieux
qu’un arrêt-maladie au boulot pour revenir en force ? Heu. Force ? Non, je ne
crois pas… Simplement pour faire un coucou à la blogosphère.
Pourquoi ne pas commencer par une mise à jour d’un de nos
projets ? Ça permettra de briser le silence, simplement, sans trop d’engagements. Peut-être que dans un prochain billet, je me plaindrai de la surabondance épuisante des activités de fin d’année scolaire de ma tribu. Ou peut-être j’en dirai plus sur mon arrêt maladie… mais pour l'instant, je me sens d'attaque pour une mise à jour. Voici donc notre haïe de saules
arbustifs, plantée il y a 4 ans, pour que vous puissiez apprécier l’évolution.
Le look initial, circa 2011 (Je parle des pousses derrières le boyau vert. Les infos détaillées sur la plantation sont ici.):
Le look actuel (c’est moi sur la photo, et pour votre
permettre d’imaginer la hauteur de la haïe, je mesure 1m78cm) :
Notre objectif de gagner un peu d’intimité sur le terrain
sans nécessairement se couper de l’horizon est atteint. Un des avantages de la
campagne est le fait de voir loin. Une haïe opaque (comme du Thuya – aka cèdre au Québec) nous
aurait coupé de l’horizon, alors que le saule nous permet de voir un peu au
travers.
Cette haïe ne nécessite à peu près pas d’entretien. Son seul
côté négatif est que, puisque notre immense terrain n’est pas drainé
uniformément partout et qu’une bonne partie a subi pendant des décennies une
culture industrielle de céréales qui a appauvri le sol, la haïe pousse de façon inégale. Les
inégalités s’estompent tranquillement, chaque année.
C’est tout pour maintenant.
À
+ !
J.